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#orcas

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When elements of a #foodchain are lost, this can have #ecologicalimpacts with other species getting more abundant. N. Hammerschlag et al. (2025) report a sharp #decline in the #whiteshark population in #FalseBay, South Africa, possibly due to attacks by #orcas. This has implications for Cape fur seals and sevengill sharks.

© This text #StefanFWirth Berlin 2025

Paper

N. Hammerschlag et al. (2025):
doi.org/10.3389/fmars.2025.153

Photo

White shark by Terry Goss, Cr. Commons creativecommons.org/licenses/b

Sea Shepherd France mobilise 5 millions d’euros pour sauver les 14 cétacés du Marineland d’Antibes

Lettre ouverte à la Ministre Agnès Pannier-Runacher
– Par Lamya Essemlali, Présidente Sea Shepherd France


Madame la Ministre, deux mois avant d’accueillir la Conférence des Nations Unies sur l’Océan, vous êtes sur le point de trahir les cétacés captifs, l’esprit de la loi et la volonté profonde de l’opinion publique française.

C’est ce que vous avez laissé entendre dans une récente vidéo où vous dites envisager un transfert des dauphins et des orques du Marineland en Espagne, de manière « transitoire » assurez-vous. La vérité est que du jour où les animaux seront sur le territoire espagnol, la France n’aura plus aucune emprise sur leur destin. Le triste précédent de l’orque Morgan envoyée à Loro Parque par le gouvernement néerlandais sous certaines conditions montre bien que le gouvernement espagnol n’a aucune intention d’imposer quoi que ce soit à l’industrie de la captivité. Malgré des années de procès intentés par la Free Morgan Foundation, Morgan, reste exploitée dans des conditions indignes et illégales.

Le côté tragique et absurde de la situation est que pour appliquer la loi sur le bien-être animal, vous êtes sur le point de faire subir à ces 14 cétacés, des conditions bien pires que celles qu’ils ont toujours connues au Marineland.

En effet, pour que le public comprenne bien, vous envisagez d’autoriser le transfert de deux femelles dauphin, Sharky et Malou à « Loro Parque » avec les orques Wikie et Keijo. Quatre orques et trois dauphins sont morts dans ce delphinarium ces 4 dernières années et le niveau intense d’agressions entre les orques y est très préoccupant. Morgan par exemple, porte des dizaines de traces de morsures et a été forcée de faire des sauts pour les spectacles, même enceinte. Cet endroit est une honte.

Vous envisagez également d’envoyer les 10 autres dauphins à Madrid, dans un delphinarium fermé au public en raison de la vétusté de ses bassins, bien plus petits et miteux que ceux du Marineland. Ils seraient également séparés car les bassins à Madrid ne peuvent pas respecter la répartition actuelle des dauphins au Marineland. Et surtout, parmi ces 10 dauphins, se trouvent deux bébés, dont Ollie, la petite de Malou qui sera expédiée à Loro Parque alors qu’elle est fusionnelle avec sa fille qui tète encore. Toutes les deux seront brutalement séparées du jour au lendemain, pour ne jamais se retrouver. Comment l’entrée en vigueur de la loi sur le bien-être animal pourrait-elle engendrer une telle cruauté, Madame la Ministre ?

Les dauphins envoyés à Madrid seront ensuite envoyés dans d’autres delphinariums en Asie où ils continueront à être exploités pour le restant de leurs jours. Les orques Wikie et Keijo seront exploitées commercialement et serviront à faire de la reproduction comme Loro Parque ne s’en cache d’ailleurs pas. Est-ce donc cela l’impact de la loi française pour ces 14 animaux ?

Les deux projets de sanctuaires en Italie à Tarente et en Grèce à Lipsi permettraient d’accueillir l’ensemble des dauphins en respectant l’intégrité des groupes actuels, c’est-à-dire 5 et 7 dauphins qui se connaissent depuis toujours.

Il est surréaliste d’envoyer ces dix dauphins en Espagne dans un delphinarium miteux, fermé au public alors qu’il est tout à fait possible de les garder au Marineland dans de meilleures conditions, sans les séparer, avec leurs soigneurs et en laissant le temps aux sanctuaires qui doivent les accueillir d’être finalisés.

En ce qui concerne les orques, des projets de sanctuaires sont tout à fait envisageables, contrairement à la légende urbaine répandue par des personnes mal intentionnées affirmant que la Méditerranée est trop chaude pour les orques. Wikie et Keijo sont nées dans l’eau de la Méditerranée, elles n’ont rien connu d’autre. Nous avons déjà repéré des lieux potentiels que nous sommes en train d’investiguer.

La loi sur le bien-être animal qui interdit la captivité des cétacés à des fins commerciales n’entre en vigueur qu’en décembre 2026. Pourquoi Monsieur Pascal Picot, directeur du Marineland est-il si pressé de se débarrasser des animaux ? La date couperet du 15 avril ne sert qu’à empêcher toute possibilité pour ces animaux de sortir du carcan de la captivité, quitte à les envoyer vers une vie de misère. Pourquoi cédez-vous à cette pression Madame la Ministre alors que mettre un terme à leur exploitation commerciale est précisément l’objectif de la loi ?
De toute évidence, Monsieur Picot se fiche éperdument du sort des animaux tout comme il se fiche du bien-être des employés et du traumatisme d’un tel épilogue. Imposer comme une fatalité aux soigneurs l’idée que les animaux qu’ils ont toujours connus, qu’ils ont vu naitre et grandir, vont devoir partir vers une vie de souffrance, être séparés les uns des autres et continuer à être exploités dans des structures pires que ce qu’a pu être le Marineland est d’une cruauté sans nom. C’est surtout un mensonge. Ça n’est pas une fatalité, c’est un choix.

Nous mettrons tout en œuvre pour empêcher ces transferts de la honte. Les orques et les dauphins du Marineland doivent y rester le temps que les sanctuaires soient opérationnels. L’état du bassin des orques dont la direction du Marineland a toujours caché la réalité, est aujourd’hui devenu un argument pour accélérer leur départ. Le comble de l’hypocrisie.

Par ailleurs, nous reviennent des rumeurs répandues par la Direction du Marineland affirmant que Sea Shepherd France n’a pas les moyens de ses ambitions, que financièrement, nous ne pourrons tenir que quelques mois à maintenir les animaux sur site et que les sanctuaires ne sont pas viables économiquement. Tout cela est faux et sert uniquement à empêcher toute sortie de ces 14 animaux du circuit de la captivité.


Nous sommes donc prêts à mobiliser dès aujourd’hui 5 millions d’euros pour assurer une vie digne d’être vécue à ces 14 animaux. Ces 5 millions d’euros ne dépendent pas d’une future levée de fonds pour laquelle il n’y aurait pas de certitude, ils sont une garantie acquise.


J’en appelle à toutes celles et ceux qui aiment ces animaux, à commencer par les soigneurs qui les connaissent personnellement mieux que quiconque. Vous ne pouvez pas vous résoudre à ce qui est sur le point d’arriver. Une vie meilleure est possible pour eux, avec vous. Les animaux ne sont pas les seuls à être captifs du Marineland… Le sentiment d’impuissance est une prison. Mais contrairement aux animaux, votre prison à vous n’est que mentale. Si vous en sortez, vous sauverez aussi ces animaux. Il est encore temps, c’est maintenant.

Madame la Ministre, ne cédez pas à l’impatience irrationnelle et capricieuse de la Direction du Marineland. Cette date du 15 avril est un leurre et elle ne vous oblige en rien.

Ce qui vous oblige en revanche, c’est la responsabilité dont vous héritez au nom de l’État que vous représentez aujourd’hui. Pour notre mémoire collective, je vous rappelle que le 29 janvier lors des débats parlementaires du texte de 2021, la secrétaire d’État, déclarait, je cite, que « Les sanctuaires correspondent à un engagement très fort de la part de l’État (…) le Gouvernement ne prendrait pas la responsabilité de réaffirmer de tels engagements si des lieux pour accueillir ces animaux n’étaient pas prévus ».

Si vous reniez cet engagement fait au nom de tous les français et que vous choisissez de sacrifier ces 14 cétacés, nous ferons tout pour vous empêcher d’agir. Si vous avez le courage de faire ce qui est juste et de respecter l’esprit de la loi, nous ferons tout pour vous aider.


Nous avons tous et toutes une dette et un devoir envers ces animaux. Qui n’honore pas ses dettes ne s’honore pas lui-même. Il y va de l’honneur de la France.

Pour signer la pétition, cliquez ici

mesopinions.com/petition/natur

#sauvonsLesOrquesDeMarineland
#stopMarineland
#seaShepherd
#unSanctuairePourLesOrques
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#orcas

https://www.mesopinions.com/Aidez-moi à faire avancer ce combat : Madame la Ministre, ne trahissez pas les cétacés du MarinelandNature et environnement - Signez la pétition : Madame la Ministre, ne trahissez pas les cétacés du Marineland

Die preisgekrönte Kamerafrau Christina Karliczek Skoglund taucht für die ARD-#Doku „Unter Orcas“ in eisige Gewässer – und erzählt, was viele noch nicht über die Tiere wussten: #Orcas sind keine Killerwale, sondern tieffühlende Familienwesen. Ein Interview: riffreporter.de/de/umwelt/umwe

Gezeigt wird die Kamerafrau Christina Karliczek beim Tauchen in eisigen Gewässern wie hier in Norwegen, nicht weit vom Polarkreis entfernt.
RiffReporter · Tauchen mit Orcas: Kameraprofi Christina Karliczek über ihre neue ARD-Doku und Drehs in der KälteBy Katja Trippel

Changing the focus to “functional” over climate emergency solutions is one of the disappointments I’ve witnessed in Governor Ferguson’s egregious reshuffling priorities with the ferries in WA state. I miss Jay Inslee’s priorities. Now must service tourism over residents, including the creatures that live in Puget Sound.
#DontMakeMyCityAThemePark #orcas #salmon #cleanair #cleanwater #2026FIFAWorldCup
seattletimes.com/seattle-news/