fredp<p><a href="https://social.0d.be/tags/vendredilecture" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener" target="_blank">#<span>VendrediLecture</span></a> avec « Splendeurs et misères des groupies » de Sophie Benard, aux éditions Les Pérégrines, pour réhabiliter la figure moquée et dépréciée de la groupie; j’ai particulièrement aimé la seconde partie du livre, groupie agissante (<a href="https://social.0d.be/tags/freebritney" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener" target="_blank">#<span>FreeBritney</span></a>), contre-culture et fanfictions.<br><br>Dans la conclusion : Comme le souligne Mathilde Saliou [dans Technoféminisme — Comment le numérique aggrave les inégalités], « aujourd’hui être un geek ou un nerd est devenu relativement cool ». En revanche, « les fangirls, elles, restent dévalorisées ». Or, ce qui distingue fondamentalement la groupie du geek, c’est son genre. C’est pourquoi j’ai cherché à démontrer que cette dévalorisation s’ancrait dans des réflexes culturels misogynes.<br><br><a href="https://social.0d.be/tags/mastolivre" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener" target="_blank">#<span>MastoLivre</span></a></p>