Breaking News: Trump Makes Special Visit To Los Angeles #trump #losangeles #ice #marines #nationalguard #america #immigration #nojusticenopeace #satire
Unsere Wut ist kein Problem. Unsere Wut ist notwendig.
Wie lange sollen wir noch schweigen? Wie lange sollen wir noch erklären, entschuldigen, relativieren?
Zachary Rolfe offered speaking services on ‘leadership, ethical decision-making’ for up to $10,000
Former NT police officer, who was cleared of murder over the shooting death of Indigenous man Kumanjayi Walker in 2022, listed as speaker at Sydney summit
#Aboriginal #Indigenous #Decolonise #SovereigntyNeverCeded #FuckRacism #FuckWhiteness #FuckColonisation #AbolishPolice #AbolishPrisons #Abolition #CommunityNotCops #NoJusticeNoPeace
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Nu is het aan de overheid. Blijft die medeplichtig aan deze nachtmerrie? Of zal het eindelijk verantwoordelijkheid nemen en alles op alles zetten om het te stoppen?
Hoe dan ook blijven wij burgers doorgaan en ons uitspreken! Wij nemen wel onze verantwoordelijkheid! No justice, no peace!
En PSRF zal ook steeds weer van de partij zijn!
Zondag 15 juni 2025 was een historische dag!
Wel 150.000 mensen namen actie en lieten zien dat de rode lijn is bereikt! Een flinke stijging in mensen na de 100.000 van 18 mei.
Mensen laten zich duidelijk horen. Tot hier en niet verder! De genocide moet stoppen! Dat had al veel eerder moeten stoppen!
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This is just the beginning #Nokings #NoJusticeNoPeace
Ah, ces commentaires délétères. C'est toujours les mêmes œillères.
La même rengaine.
Pour eux, des vies valent plus que d'autres.
Et l'autorité ne peut jamais être remise en question.
Pour eux, les abus d'autorité n'existent pas.
Ils ne comprennent pas que les violences infligées par des agents de l'autorité publique (comme la police) dans le cadre de l'exercice de leurs fonctions, lorsqu'elles sont excessives, peuvent être considérées comme des infractions pénales.
Pour eux, la police est toujours dans son droit.
Peu importe ses crimes.
Peu importe l'injustice et l'immoralité d'une loi.
Peu importe même que la loi soit bafouée.
Peu importe la violation des droits de la population.
Peu importe les enfants qui en meurent.
Pour eux, l'autorité n'est plus une institution composée d'humains obéissant à des lois humaines sur lesquelles ils auraient prise ; non, l'autorité est une divinité à laquelle ils se soumettent et veulent soumettre l'ensemble de leurs semblables.
L'État n'a plus seulement le monopole de la violence légitime.
L'État est la violence légitime érigée en dogme absolu. En principe premier. En Dieu.
Un Léviathan qui nous protégerait de nous-mêmes...
Quitte à faire fi de toute rationalité, de toute humanité, de tout esprit critique, de toute liberté.
Pourtant, même l'autorité elle-même a déjà prévu ses propres balises pour éviter des abus et les révoltes qui s'ensuivraient.
Ainsi, les conditions d'usage de la force sont strictement encadrées. C'est comme ça que « pour que l’usage de la force par les policiers soit légal, il faut que quatre conditions soient réunies :
1. les policiers doivent poursuivre un « objectif légitime »... (c’est le « principe de légalité ») ;
2. ... « qui ne peut être atteint autrement »... (c’est le « principe de nécessité ») ;
3. en n’exerçant qu’une force « raisonnable et proportionnée à l’objectif poursuivi », en tenant compte des risques (c’est le « principe de proportionnalité ») ;
4. après avoir averti (en principe).
Les trois premières doivent l’être en toutes circonstances, la quatrième connaît des exceptions. Tant que ces conditions sont réunies, leur violence est légalement justifiée. Mais dès qu’ils agissent en dehors de ces conditions, les policiers sont dans l’illégalité et deviennent éventuellement délinquants. »
Il ne faut pas être juriste, il ne faut pas attendre la fin de l'enquête pour comprendre que les conditions d'usage de la force n'étaient pas réunies dans les circonstances qui ont mené à la mort du petit Fabian, quelques jours avant son douzième anniversaire.
Lorsque le policier au volant d'un SUV de la police de Ganshoren a pris la décision de rouler et d’accélérer, en prenant des risques inconsidérés, pour poursuivre un gamin de 11 ans et lui infliger une amende de 58 €, il s'est cru dans son droit.
Droit de faire peur, de blesser et finalement de tuer un gosse d'un quartier métissé.
Droit que lui donnent ces idées d'extrême droite véhiculées par des politiciens et des milliardaires qui infusent toute la société en vue de nous diviser et nous soumettre aux inégalités.
Car...
Fabian était un enfant scolarisé à Molenbeek.
Fabian jouait dans un parc à Ganshoren considéré comme un hotspot.
Fabian n'a pas respecté un règlement s'appliquant sur la voie publique (pas dans les parcs ni les ravels selon art 2.15.2 du Code de la route).
Fabian était un enfant devant comprendre le plus tôt possible que l'on se soumet à l'autorité.
Alors, Fabian n'a plus droit aux moindres droits.
Je vous l'ai dit : pour eux, des vies valent plus que d'autres.
La vie des pauvres, des Noirs, des Arabes et des personnes en souffrance psychologique ne compte pas.
Et leurs droits, encore moins.
Alors la police a tué Fabian.
Comme elle a tué Adil et Mehdi.
Comme elle a tué Ouissam et Sabrina.
En roulant dessus.
Cette fois-ci, dans un parc.
La police a tué un enfant.
Mawda n'était pas la dernière gamine.
Mais faisons en sorte que Fabian soit le dernier gamin.
Alors, soyons nombreux et nombreuses à nous bouger pour que l'État entende notre colère.
Parce que toutes les vies se valent.
Parce que la police a un devoir d'exemplarité.
[Ce sont nos impôts qui les paient.]
Nous ne laisserons pas passer cet infanticide commis par un soi-disant « service public ».
Même si cette énième vie enlevée rappelle la nécessité de l'autogestion de la société et de l'abolition du capitalisme, de l'État et de la police qui les défend, j'aimerais vous partager quelques revendications tout à fait applicables en quelques mois par cette autorité qui ne nous obéira que si nous nous faisons entendre suffisamment.
Rapport de force oblige.. Pouvoir au peuple !
Alors, s'il vous plaît, pourriez-vous partager les revendications suivantes :
Nous voulons l'interdiction des parechocages policiers.
Nous voulons l'interdiction des courses-poursuites dans des parcs et des zones piétonnes.
Nous voulons la fin du profilage racial et du contrôle au faciès par les forces de l'ordre.
Nous voulons que le Comité P soit remplacé par un organisme indépendant.
Comme Amnesty International, appelons les autorités à :
Reconnaître le profilage ethnique comme une source d’inquiétude en Belgique ;
Préciser dans les règles comment mener un contrôle d’identité sans discriminer ;
Collecter des données, surveiller et enquêter sur l’utilisation des contrôles d’identité ;
Traiter les plaintes de manière approfondie, impartiale, transparente et efficace ;
Prévoir une formation obligatoire et continue mentionnant l’interdiction du profilage ethnique.
Parce que toutes les vies se valent.
Parce que nous sommes tous égaux en droits, ou devrions l'être !
Justice et vérité pour Fabian !
Justice pour tous !
Plus jamais ça.
"I paint my face and put on a show, but my true art is opening hearts and minds. I'm a walking revolution, honey!" —Marsha P. Johnson